Les Grands personnages historiques qui pratiquent la sieste régulièrement
Les grandes figures historiques ont pratiqué la sieste et ceux qui sont encore en vie la pratiquent régulièrement, la micro sieste pour bien travailler. En réalité, les grands travailleurs sont toujours ceux qui savent s’économiser.
Grands hommes et petites siestes
« Notre humour populaire aime à railler la sieste et ceux qui la pratiquent. « On continuera, longtemps sans doute, à sourire de la prétendue paresse des latins qui observent, depuis la plus haute antiquité, cette pause des débuts d’après-midi où la chaleur rend toute activité pénible.» Pourtant, comme il est maladroit de confondre sommeil et paresse ! « La sieste facilite grandement la vie de ceux qui la pratiquent régulièrement, soit qu’elle les repose, tout simplement, soit encore, je peux en témoigner, qu’elle leur octroie, pour travailler, les extraordinaires créneaux d’efficacité intellectuelle de la nuit ». Qui était l’auteur de cette tirade? Jacques Chirac !
Mais les hommes politiques n’ont certes pas le monopole en la matière, et d’autres ont su élever le débat au-dessus de considérations telles que l’efficacité ou la gestion du stress. Chamfort, par exemple, écrivait, non sans humour, que « vivre est une maladie dont le sommeil nous soulage ». Les Goncourt, pour leur part, voyaient dans la sieste « un curieux sommeil, où, au milieu de l’évanouissement de l’être, il y a une perception poétique de ce qui se passe autour de ce sommeil ». De nombreux écrivains trouvèrent d’ailleurs dans la sieste matière à faciliter leurs activités créatrices, soit, comme ce fut le cas pour André Gide, en rétablissant leurs performances littéraires mises à mal par l’insomnie nocturne, soit en enrichissant les échanges avec leur lectorat, ainsi que le confessait Charles Bukowski qui partageait volontiers quelques siestes avec des admiratrices de passage. Beaucoup de peintres, également, manifestèrent dans leurs œuvres cette fascination qu’ils avouaient par ailleurs éprouver pour la sieste. De Giorgione à Titien, ou, plus près de nous, Courbet qui peignit « Le hamac », « Les dormeuses » et « Le sommeil », ou encore Van Gogh qui baptisa l’un de ses plus célèbres tableau « La sieste », tous se plurent à témoigner d’une activité que le monde rural de leur époque considérait comme primordiale, et qui contribuait pleinement au rythme naturel de la journée. Enfin, certains représentants du monde scientifique – et non des moindres – puisèrent dans la sieste une inspiration qui se révéla géniale. Parmi les inventions les plus connues, citons le filament incandescent dont Edison rêva lors d’une sieste, le stylo à bille de Reynolds, l’atome de Bohr, les lois de l’hérédité de Mendel, le tourne-disque, la pénicilline…
Grands hommes et petites siestes
« Notre humour populaire aime à railler la sieste et ceux qui la pratiquent. « On continuera, longtemps sans doute, à sourire de la prétendue paresse des latins qui observent, depuis la plus haute antiquité, cette pause des débuts d’après-midi où la chaleur rend toute activité pénible.» Pourtant, comme il est maladroit de confondre sommeil et paresse ! « La sieste facilite grandement la vie de ceux qui la pratiquent régulièrement, soit qu’elle les repose, tout simplement, soit encore, je peux en témoigner, qu’elle leur octroie, pour travailler, les extraordinaires créneaux d’efficacité intellectuelle de la nuit ». Qui était l’auteur de cette tirade? Jacques Chirac !
Mais les hommes politiques n’ont certes pas le monopole en la matière, et d’autres ont su élever le débat au-dessus de considérations telles que l’efficacité ou la gestion du stress. Chamfort, par exemple, écrivait, non sans humour, que « vivre est une maladie dont le sommeil nous soulage ». Les Goncourt, pour leur part, voyaient dans la sieste « un curieux sommeil, où, au milieu de l’évanouissement de l’être, il y a une perception poétique de ce qui se passe autour de ce sommeil ». De nombreux écrivains trouvèrent d’ailleurs dans la sieste matière à faciliter leurs activités créatrices, soit, comme ce fut le cas pour André Gide, en rétablissant leurs performances littéraires mises à mal par l’insomnie nocturne, soit en enrichissant les échanges avec leur lectorat, ainsi que le confessait Charles Bukowski qui partageait volontiers quelques siestes avec des admiratrices de passage. Beaucoup de peintres, également, manifestèrent dans leurs œuvres cette fascination qu’ils avouaient par ailleurs éprouver pour la sieste. De Giorgione à Titien, ou, plus près de nous, Courbet qui peignit « Le hamac », « Les dormeuses » et « Le sommeil », ou encore Van Gogh qui baptisa l’un de ses plus célèbres tableau « La sieste », tous se plurent à témoigner d’une activité que le monde rural de leur époque considérait comme primordiale, et qui contribuait pleinement au rythme naturel de la journée. Enfin, certains représentants du monde scientifique – et non des moindres – puisèrent dans la sieste une inspiration qui se révéla géniale. Parmi les inventions les plus connues, citons le filament incandescent dont Edison rêva lors d’une sieste, le stylo à bille de Reynolds, l’atome de Bohr, les lois de l’hérédité de Mendel, le tourne-disque, la pénicilline…
Chez Oum Soulaym radiyallahou, la micro sieste était une pratique pour le prophète Mahomet et ses compagnons. Dans sourate An-nour verset 58 : « Ô vous qui croyez ! Que vos serviteurs et vos enfants encore impubères sollicitent votre permission avant de pénétrer dans vos appartements, aux heures suivantes : avant la prière de l’aube, à midi quand vous vous déshabillez [pour la sieste] et après la prière du soir. ».. Tu sais maintenant ce qui te reste à faire … retrouver le sommeil.